Parents et mineurs : que dit la loi ?

La protection des mineurs fait partie intégrante des textes de la loi. Elle est l’un des principaux thèmes sur lesquels la loi s’attarde en donnant des précisions, des éclaircissements et des détails sur les droits et devoirs des parents et des enfants. 

Il convient de connaître de façon claire et précise les plus grands contours et aspects particuliers de la loi. Quels sont ces aspects et comment les interpréter ? 

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Droits des parents envers les mineurs

Avant toute chose, est considéré comme mineur tout individu âgé de moins de 18 ans. Cet individu est donc placé sous la surveillance et la protection de ses parents biologiques ou ses tuteurs légaux. Vous pouvez avoir plus d’éclaircissement sur ce sujet sur https://www.cdtg-avocats.com/.

Tout parent a le droit de surveiller, de nourrir, d’organiser son instruction scolaire et de garder ses enfants. Dans l’exercice, cela implique qu’il a le dernier en ce qui concerne le choix de l’habitat selon que ce droit est exercé dans la limite du raisonnable. Cela suppose, en effet, que tout enfant a droit à un habitat qui est sain et qui ne met en aucun cas sa vie en danger.

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 L’enfant se mettra d’accord avec ses parents sur ses autorisations de sortie puisque placé sous la surveillance de ses parents. Le parent a par ailleurs aussi le droit de punition sur ses enfants. Ce droit est bien entendu encadré par la loi et emporte des limites à ne pas franchir. Le châtiment corporel est notamment interdit et tout enfant a le droit de se plaindre auprès des autorités compétentes si un écart est constaté. 

Droits et devoirs des mineurs 

La loi exige des enfants mineurs qu’ils demeurent sous le toit familial. Tout enfant mineur en situation de fugue est donc obligatoirement et en premier lieu ramené à ses parents. Il doit conséquemment honneur et respect à ses parents biologiques ou tuteurs légaux. Mais il a une influence limitée sur son éducation. 

Cela implique que les parents le concertent en avance sur certains détails tels qu’un déménagement éventuel ou un changement d’école. Toutefois, le mineur a le dernier mot quant aux aspects qui touchent directement son corps tels qu’une contraception ou une intervention volontaire de grossesse. 

Le médecin exigera cependant l’accord d’une personne majeure du choix du mineur choisi sans aucune forme de contrainte ou de menace. La loi prévoit aussi une exception à l’endroit des enfants artistes qui exercent un domaine artistique. 

L’exercice de ce travail doit obligatoirement être précédé de l’accord écrit du mineur d’au moins 13 ans. Il devra par contre obéir et se conformer aux exigences scolaires jusqu’à l’âge limite de 16 ans. 

En conclusion, on retient que la loi délimite assez clairement la responsabilité des deux parties dans la famille, le mineur et ses parents ou tuteurs légaux. Le respect de la loi procure sérénité et quiétude pour les deux parties. 

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